Lost in Translation (2003) capture un type de solitude très spécifique : être entouré de gens et se sentir pourtant invisible. Deux étrangers, une ville qui ne dort jamais, et une connexion qui n'existe que parce qu'elle ne peut pas durer.
Fallen Angels (1995) transforme la solitude en poésie néon. Des voix dérivant à travers la ville, des gens passant à quelques centimètres mais vivant à des mondes de distance. La romance, le crime et le désir se mélangent jusqu'à ce que la nuit elle-même semble être le personnage principal.
Drive (2011) transforme la solitude en atmosphère. De longs silences, un néon rose, le bourdonnement de la ville, et un homme qui parle à peine mais dit tout avec un regard. Même la veste iconique a été conçue pour donner l'impression d'un costume qu'il cache à l'intérieur.