Ankr a récemment franchi le cap d'1 trillion de requêtes RPC par mois, soutenant une énorme partie du trafic Web3. Leur plateforme RPC agit comme le pont entre les applications et les blockchains, gérant les appels des portefeuilles, dApps, bots, indexeurs, rollups, et plus encore. 🧵
Mais d'où provient tout ce trafic ? Les principales sources incluent : • Portefeuilles et interfaces • Indexeurs / analyses • Bots et systèmes MEV • Rollups, L2, ponts (appels inter-chaînes lourds) • Une longue traîne de petites dApps sur plus de 80 réseaux
Et quels types de méthodes RPC sont largement utilisées ? • Lectures fréquentes : eth_call, eth_getBalance, eth_getBlockByNumber, etc. • Requêtes de plage et journaux (eth_getLogs) et appels de traçage/débogage • Abonnements via WebSocket (nouveaux blocs, journaux, transactions en attente) • Écritures (par exemple, eth_sendRawTransaction) - moins nombreuses en volume mais critiques pour les opérations
Comment Ankr s'adapte-t-il pour garder les choses rapides et fiables ? Certaines de leurs stratégies : • Anycast global + routage régional pour réduire la latence • Équilibrage de charge conscient de la blockchain • Spécialisation de flotte : chemins de lecture chaude, archive, trace/débogage, écriture séparés Ankr • Modelage de taux, pondération des méthodes et logique de basculement ajustées aux sémantiques de la blockchain • Infrastructure dédiée pour les clients d'entreprise ayant des besoins de haut débit
RPC est le « robinet de lecture/écriture » vital du Web3 - pas de soldes, pas d'échanges, pas de ponts sans lui. Le jalon des trillions de requêtes d'Ankr n'est pas une exagération ; c'est la somme de chaque appel à l'état, aux journaux, aux abonnements et aux transactions sur plus de 80 chaînes. Pour obtenir les meilleures performances, les développeurs devraient utiliser la mise en cache, les appels par lots, se fixer à des régions, respecter les poids des méthodes et surveiller l'utilisation par chaîne/méthode.
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